ALICIA PIQUER DESVAUX. - de la nouvelle par sa forme plus longue et l’inscription du récit dans la durée. Pour revenir au souci de vérité, de vraisemblance qui domine toutes les recherches […] de l'esprit nouveau . • PDC : roman relevant de l’étude de mœurs. Résumé . Rien de choquant ne doit être représenté sur la scène : ainsi, le récit de Théramène, dans Phèdre de RACINE, relate l’épisode de la fin violente d’Hippolyte, sans le montrer sur scène. Actualités » Ce détail soulignant le raisonnement analogique du maître accuse, aussi le souci de vraisemblance recherché par Perrault au cœur même du merveilleux : cette analogie donne une motivation à la métamorphose du chat. Peu d’écart temporel entre l’époque de la fiction et l’époque de la parution du roman. qui traduisent une réserve et une pudeur de l'écriture propres au classicisme. L'unité de temps (ou règle des vingt-quatre heures) : toute l'action représentée dans la pièce doit s'effectuer entre le lever et le coucher du soleil. Souci de vraisemblance de façon à ce que les lecteurs contemporains se sentent proches de l’univers romanesque mis en oeuvre. Le roman se distingue - du conte par le refus du merveilleux, le souci de vraisemblance et une forme plus développée. Mais la frontière n’est pas toujours facile à tracer : doit-on considérer L’Ingénu de Voltaire comme un roman, un conte ou une nouvelle ? A l’intérieur du cadre protégé d’une oeuvre en conception, je me risque à transposer le réel sans souci de vraisemblance, à faire face au chaos, à proposer des lois qui se suffisent à elles-mêmes. (cf G. Genette « Vraisemblance et motivation » in Figures II). Il peut donc être défini comme un roman historique, même s’il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d’analyse. Universitat de Barcelona . C’est en effet un des premiers romans dits psychologiques, ce qui contribue à sa modernité. La Princesse de Clèves est un roman de Madame de La Fayette, d'abord publié anonymement en 1678.. MDLF étudie le monde de la cour Classicisme : souci de la bienséance (suppression de tout détail susceptible de choquer le lecteur), souci de vraisemblance (limitation du surnaturel au strict nécessaire), Dans certaines versions, ce n'est pas une fée marraine qui aide l'héroïne, mais sa mère défunte qui lui apparait alors sous la forme d'un animal ou d'un arbre. Pour revenir au souci de vérité, de vraisemblance qui domine toutes les recherches […] de l'esprit nouveau ALICIA PIQUER DESVAUX Universitat de Barcelona apiquer@ub.edu Résumé On connaît les avatars de la notion de vraisemblance le long de la postmodernité, en France particulièrement. L e respect des bienséances et le souci de la vraisemblance participent également du code de l’écriture théâtrale. On connaît les avatars de la notion de vraisemblance le long de … Par souci de vraisemblance et par confort pour le spectateur, les théoriciens du théâtre du XVIIe siècle proposent de respecter trois unités:. Enfin, le genre théâtral doit respecter les bienséances et la « règle des trois unités » qui répond à un souci de vraisemblance : apiquer@ub.edu . ; L'unité de lieu: toute l'action représentée se déroule dans un même lieu. Mon interlocuteur, sera-t-il suffisamment convaincu pour passer de mon côté ? Mon rendez-vous, sera-t-il concluant ? Les figures de style privilégiées par le classicisme sont plutôt des figures d'atténuation (litotes, euphémismes, etc.)