Leur problème est leur mauvaise tolérance dans un grand nombre de cas ; mais si on est vraiment très ennuyé, il est légitime de les essayer : si on a la chance de ne pas avoir de souci de tolérance, ce peut être une excellente solution ; il est dommage qu’elle fasse si peur. Et la question est donc de savoir ce qu’il faut faire. Cela n’exclut nullement la présence d’amour, En effet : tous les proches de déments sont écartelés entre l’espoir insensé que les choses ne sont pas si graves, ou qu’elles pourraient s’arranger, et le désir frénétique que tout s’effondre le plus vite possible. Elle veut que quelqu’un reste tout le temps avec elle dans la même pièce. Soit donc ce n’étaient pas des anxiolytiques, soit ce n’étaient pas des hallucinations. Je suis au etude ainsi que mes deux frères et honnêtement nous ne sommes plus capable. Je n’étais pas assez bien pour son fils... Je ne me suis jamais fâchée pour ses remarques, certaine que ma patience porterait ses fruits et qu’un jour elle m’aimerait. elle parle seule le plus souvent et prétend que l’on veut tuer un de ses enfants ou elle même. La sénilité désigne l'état d’une personne âgée dont les capacités intellectuelles et physiques sont diminuées. Oui, avec l’âge les troubles intellectuels se font plus fréquents ; ça ne les empêche pas d’être des troubles intellectuels ; c’est comme si on disait qu’il est normal de mourir à la fin de sa vie. non pas tant la démence de la maladie de Parkinson, mais une démence de la maladie d’Alzheimer, dont il faut rappeler que c’est la plus fréquente, y compris chez le parkinsonien. Les parents, amis ou intervenants sociaux peuvent aussi dénoncer des si\ tuations d exploitation. Il a rendez vous avec un spécialiste en octobre pour interpréter son scanner de la tête. Mais l’autre conclusion est encore plus implacable : pourquoi les résidents d’une maison de retraite retrouvent-ils ainsi des comportements animaux ? Par contre il n’y a pas de sens à craindre « un placement d’office en maison de retraite par les médecins » : ils n’en ont ni le pouvoir ni l’envie ; d’ailleurs le placement d’office ne se fait qu’en hôpital psychiatrique, et dans un autre contexte. Elle souffre d’arthrose aux articulations (jambes, mains,) et de ce fait a de gros soucis de mobilité + ces chutes à répétition, il a fallu se décider à la placer en maison de soins et de repos. Je ne sais pas. Je ne vais pas pouvoir à cause de ce que vous avez écrit au début : il s’agit d’une pathologie ancienne, qui relève de la psychiatrie, j’allais dire ordinaire. Comment prendre une décision de dialyse ? Mais de toute manière la seule chose à faire est de parier sur un effet des médicaments : c’est le plus logique, le plus simple, le plus efficace et le moins dangereux. que sa tête va bien que c’est moi qui va mal elle est méchante. J’avais beaucoup de mal à croire ma mère car j’ai eu divers contact avec la propriétaire qui m’a assurée qu’elle n’avait jamais commis tous les méfaits dont ma mère l’accusait. Et le raisonnement se fait en trois temps : Et j’ai envie de vous répondre : raison de plus .... seulement voilà, qui ?  ? Pour moi, je pense qu’il n’y avait pas d’alternative à la maison de retraite mais j’ai l’impression d’avoir abandonné ma mère et je ne me le pardonne pas. Bonjour, Certes, même les déments doivent être considérés comme des humains libres ; certes même son affaiblissement intellectuel ne lui supprime pas toutes ses capacités, notamment intuitives et affectives, mais enfin il n’y a guère de sens à revendiquer la liberté d’une personne qui n’est plus intellectuellement en état de l’assumer. Ensuite, ce que vous décrivez est un délire. je suis un peu fatiguée de tout cela.Merci encore pour votre soutien et bonne journée. Cela marche souvent. J’espère bien qu’il est possible d’aimer sans s’approprier, et d’apaiser les conflits sans passer par la rupture. Jusqu’ici vous m’avez parlé de dépression, de paniques, de paranoïa, d’hystérie… Cela me fait beaucoup ; trop. Elle a aussi un problème d’élocution et ne parvient plus à former des mots. Pensez vous qu’il faille changer le traitement ? ceci est évidemment totalement faux ! La démence, et c’est assez spécifique, fait perdre cette aptitude. Mais c’est que d’un côté vous avez raison d’être inquiet, de l’autre il ne faut pas que cette inquiétude vous incite à des actions précipitées : le mieux est l’ennemi du bien. Ainsi dans la démence, il m’est moins pénible de penser qu’on me vole que de penser que j’ai encore oublié où j’ai mis mon argent. il me disait sans cesse se demander ce qu’il allait devenir, et que cette menace devait se réaliser sous 2/3 mois certainement. Cela fait que, probablement, les inconvénients de la rééducation sont ici plus importants que les avantages. D’autre médisance ou diffamation ou même du délire étaient parvenus à un CHU, ce qui a interpellé le corps de la psychiatrie de Paris. L’imagerie ne sert pas à affirmer, ou même à suspecter une démence, elle sert à vérifier qu’il n’y a pas une autre cause sur laquelle on pourrait agir. Si le malade souffre, il faut être attentif : j’entends bien qu’il y a des moyens de limiter cette souffrance (C’est un des points sur lesquels Naomi Feil dit des choses intéressantes, même si je ne partage pas tout), mais il faut que ce soit efficace rapidement : pendant ce temps-là le malade trinque. je suis très proche de mon père .le problème a démarré dés qu’il vivait seul il disait que sa voisine parlé sur lui et l’observer par des trou quelle a fait au mur et quand je venait chez lui il me dit chut ne parle pas elle t’écoute il disait elle dit il va trop au toilette ou il fait des chose sous la douche ou que regarde a la tele mais rien de tous cela il a déménagé de Paris et est venu a Marseille en pensant que ça allé passer mais c était pareil je lui est encore changé dappart pareil il parle toujours de ces voisins l’observe et l’écoute je sais pas quoi faire je suis triste il écrit tous ce qui ce passe et pense même que la police l’observe je voudrai enfin que mon père profite de sa retraite et soit heureux qu’il rencontre une femme qu’il soit heureux. Une forme commune d’hallucination chez le sujet âgé est le « délire des cloisons » : le patient éprouve la sensation que des images visuelles colorées (souvent assimilées à des flammes) traverse les murs ; ailleurs c’est un son, une odeur, qui viennent de la pièce voisine. Il vous faut vous colleter à ce problème, et je ne serais rassuré que si vous me disiez que vous avez entrepris un travail personnel d’élaboration avec un professionnel. Connaissant bien mon père et ses habitudes de vies, je pencherai plus pour l’hypothèse dépression + consommation d’alcool + tentative de contrôler l’incontrôlable. bonjour Les causes possibles sont une infection grave, l’utilisation de certains médicaments, une maladie du cœur ou des vaisseaux sanguins, une atteinte du cerveau, un accident grave ou L'arrêt drastique d'une consommation excessive d'alcool. Mais pour tout cela une prise de sang ne sert à rien. Problème de perte de mémoire à court terme, difficile de se souvenir de ce qu’il a fait 15 minutes avant. S’il est impossible de la renvoyer dans sa maison de retraite car elle serait trop dangereuse, que peut-on faire ? Je sais bien que cela ne changera pas le pronostic, mais cela permet de trouver plus facilement du sens à ce qui est en train de se passer. L’infirmière inquiète a elle même diminué les doses, puis son médecin, alerté par téléphone, lui a dit de tout arrêter. J’espère ensuite la convaincre de rester jusqu’à la fin de la période de rééducation Surtout, ça ne marche jamais. Seulement vous répéter que vous êtes sur la bonne position, et que vous ne devez rien changer. Maman vit à 650 km de chez moi, et, égoïstement je l’avoue, j’appréhende la sortie de la clinique de rééducation…. Déshydratation. Les personnes qui prennent beaucoup de médicaments ou qui ont subi une intervention chirurgicale sont également plus vulnérables. Sa mère est décédée et ils ont pensé qu’elle faisait de l’Alzheimer car elle oubliait tout mais il n’y a pas eu d’autopsie pour confirmer. Même si là encore le plus probable est que tout cela va s’estomper. Il n’est pas facile d’expliquer la différence entre hypochondrie, hystérie et somatisations ; cette différence ne se fait qu’en examinant la personnalité du malade, le symptôme n’occupant pas la même fonction dans chaque cas. PS. D’ailleurs il a fait des supers travaux (aidé de collègues). Mal interprétée : il y a un délire. Elle a eu aussi des périodes de confusion sur les deux semaines suivantes. Mon frère et moi devons nous voir pour essayer de trouver une solution. Ce qui aurait pu/dû être fait, c’est simplement d’envoyer votre mère en soins de suite, ce qui aurait permis de vérifier que le traitement est suffisamment efficace, et de préparer tranquillement le retour à la maison. etça, ça me met en boule. Les techniques de diversion font partie de l’arsenal quotidien du professionnel de santé, et c’est avec raison qu’on n’y trouve rien à redire. La gériatre du CHU a pourtant affirmé que cet ets n’était pas du tout adapté à ma mère. C’est chaque fois comme ça. Nous allons maintenant être dans l’obligation de chercher une structure d’accueil. Je vous remercie vivement pour votre réponse. on découvrira plus tard qu’elle avait préparé sa valise avec ses papiers pour partir. Troubles hémodynamiques. Je vais tenter d’appliquer les conseils que vous avez donnés à Florence en attendant de voir comment son état évolue afin de ne pas nourrir son délire. flashback sur le passé de la personne âgée qui se souvient de sa jeunesse (exemple dans un driving). S’il lui plaît dans le rêve, cela signifie qu’il consentira avec un bon ami proche et qu’ils marcheront ensemble sur le chemin pour récolter des avantages matériels et spirituels. Ce qui rend toute stratégie d’apaisement synonyme de rupture assez irrévocable. Soit qu’il juge la situation trop dégradée pour qu’il soit réaliste de faire un essai de traitement. Ceci interroge votre propre ressenti. Mais je ne fais que vous dire des choses très simples, et je ne doute pas que les médecins en charge de votre père tiendront le même raisonnement. Je m’interroge encore au sujet sérieux du trouble intellectuel. Tout en étant dévouée corps et âme, elle a la main-mise absolue sur les vies de son fils handicapé (heureusement il travaille dans un atelier protégé) ainsi que sur celle d’un autre de ses quatre fils, vivant près de chez elle. Par contre il faut agir : D’abord parce que vous n’allez pas tenir indéfiniment ainsi. Bonsoir, et si protestation lui demande aussi dans ce cas de lire le programme lorsque la question lui est posé de savoir ce queq elle surtout souhaite réellement regarder,emploi également selon une phrase régulière " radote " en langage familier mange par petites fractions mais très souvent et disant qu’elle ne mange plus . Le gros problème ce sont des moments d’hystérie (dont elle ne se rend pas du tout compte). nous avons tous remarqué un changement de son comportement depuis le deces de mon grand pere il y a 10 ans. Je ne peux naturellement pas savoir si ce délire est isolé ou s’il accompagne une démence, mais ce n’est pas forcément très important. Le contexte, c’est une petite tradition installée depuis la naissance de ma filleule, on "installe", le premier ou le deuxième dimanche de l’Avent, une crèche (qui grossit chaque année de deux santons supplémentaires) avec tous les "enfants", ceux des parents et ceux du parrain, six en tout. Elle a reçu sa première dose hier et elle dit qu’elle n’a pas aimé. Mais je vous dis cela avec d’expresses réserves, tant les pièges sont nombreux dans ce type de pathologie. Il y a donc des compromis à trouver. L’opération est réussie et elle retrouvée sa mobilité. cela fait 3 ans que maman 75ans est suivi pour alzheimer,patch exellon 9mg, mais la maladie à évoluer, on est passer par différents stades,perte de mémoire, agressivité verbale et physique, perte de l’espace et du temps, plus envie de sortir du tout, je suis venue vivre chez elle pour m’en occuper,elle ne gère plus rien du tout Je crois sans peine que la thérapie y parvient ; je suis moins sûr de son efficacité à terme sur, précisément, le besoin de marcher, qui est purement psychomoteur. Elle va jusqu’à penser que quelqu’un l’espionne. Un mot par ailleurs : comme vous l’avez remarqué les messages se décalent au fur et à mesure des échanges. Il serait le seul à avoir ce caractère (pathologique ?) Dès le lendemain de son premier délire, elle a pu le critiquer, et tenter d’en effacer les traces (elle avait noté des choses dans un carnet qu’elle a ensuite biffées) : Je vous répondrais mieux si j’avais vu la situation. Toujours est-il que si c’est le cas, alors le problème est résolu. Vous y trouverez des éléments de discussion sur la démence, la dépression, les autres délires. C’est vrai chez les pélicans, c’est vrai chez les bébés, c’est vrai dans les maisons de retraite. Elle est sortie de l’hôpital hier et elle revoit son médecin dans une semaine. S en est suivi qu elle a accusé tous les voisins d être rentrée chez elle changer ses mots de passes ainsi que la famille. Je ne reviens pas sur mes réticences devant l’utilisation inconsidérée de ce terme, en particulier chez le sujet très âgé ; laissons cela. Si on veut le faire, on aura du mal à se passer d’une hospitalisation. Ce qui m’a frappée, moi, dans cette vidéo, c’est le luxe de précautions déployées pour présenter ce qui est décrit comme une "thérapie", pensée en profondeur par un éminent Professeur-Docteur-Gériatre italien, qui s’est déplacé en personne pour l’expliquer, pour laquelle il a fallu former des infirmiers-voyageurs-accompagnants, et dont n’ont bénéficié que quatre patients dûment sélectionnés. C’est un sentiment très pénible, mais c’est aussi un sentiment normal, qui fait partie de la pédagogie du deuil. Dans ce contexte sa réaction est en soi assez banale : c’est ce que j’appelle le coup du magnétoscope. Le mécanisme n’en est pas forcément différent. CHARAZAC- BRUNEL M. ( 2002) Prévenir le suicide. Mais quelque fois, quand il y a du monde avec elle, elle regarde la télé comme si de rien n’était, ça peut durer tout l’après midi, elle regarde même avec plaisir. "Je crois bien que ces chaussures noires sont à TOI. Aller plus loin ici serait trop personnel. Je suis restée patiente et polie mais elle a fini par me raccrocher au nez. Tout conseil serait bienvenu. Le délire n’est pas une démence. Toujours est-il que j’ai tendance à en rester, tout compte fait, à ce que j’avais appris. Ci-dessous nous avons des moyens de désamorcer la violence verbale et de faire revenir la personne dans un espace d’amour. Comme vous le soulignez le fait de voir votre propre souffrance entendue est une aide fondamentale. Par contre, nous avons peur du stress que cette nouvelle va déclencher sur son "inconscient". elle se rebellait contre le personnel, griffait ou frappait et continuait à pleurer Merci d’avance pour vos précieux conseils. C’est pourquoi il est inadéquat de parler de fugue : le dément ne veut pas s’enfuir, il veut marcher. Mon papa est âgé de 86 ans. J’y crois assez peu ici, notamment parce qu’en général ces personnes ne délirent pas. L’essentiel de ce que vous décrivez fait penser à un délire, avec une possible (car il y aurait d’autres explications à envisager) composante hallucinatoire. Par exemple en cas de trouble psychiatrique de telles stratégies sont souvent des échecs, car le délire a pour fonction de permettre l’évacuation d’une énergie psychique dangereuse. Cela ne fait que donner de fausses certitudes. Car elle est en pleine forme et complètement autonome. Nous verrons bien. Tout au plus faut-il s’attendre que s’il m’arrive un jour un trouble psychiatrique ce sera probablement une décompensation obsessionnelle. Oui, Aurélie. Elle me teste au telephone pour savoir si c’est bien moi. Ils ont aussi fait un scanner qui a démontré un infarctus cérébral ancien, beaucoup de petites veines obstruées et un cerveau atrophié. Mais je ne serais pas étonné s’ils confirmaient l’hypothèse de démence, et s’ils ne concluaient pas que le moment de l’institution est arrivé ; ce qui me le fait dire c’est que vous décrivez très bien les éléments qui font suspecter que son aptitude à assumer la vie quotidienne se dégrade maintenant depuis longtemps. Nous, la famille, avons décidé de ne pas la prévenir au moment de son inhumation. de plus il ne supporte plus que je m’absente, je suis partie une demie-journée justement pour voir ma famille, je lui ai dit que j’allais aux magasins, quand je suis rentrée ça a été catastrophique, il hurlait que je l’avais laissé seul trop longtemps (5heures !) Mais si vous aviez évité cette brutalité vous auriez pris, je crois, un risque inconsidéré. Pour vous donner un exemple que je ne connais bien, j’ai plutôt une personnalité obsessionnelle ; pour autant je n’ai jamais développé une névrose obsessionnelle. Depuis plusieurs jours, il m’a confié qu’il voyait la moitié d’un visage à différents endroits ...... Reste votre histoire personnelle. Elle m’accusait (et elle continue à chaque contact qu’elle a avec un membre de ma famille ou mon mari) d’interdire à mon mari et à mes filles de lui parler et m’accusait de souffler à l’oreille de mon mari tout ce qu’il doit lui dire au téléphone !!!) Pour le coup, ce qui vous aiderait le plus est sans doute, et avec les réserves que j’ai dites dans l’article que j’y consacre, la série de techniques développées par Naomi Feil, voyez par exemple Validation mode d’emploi. C’est pourquoi ma réponse sera la même : je ne peux rien dire d’utile à propos d’une malade que je n’ai pas vue. La seule chose que je peux faire c’est commenter votre propos. C’est une bonne mesure. Et le fait de ne plus connaître la date n’est pas lié à la mémoire mais à une autre fonction, celle de l’orientation. Il est beaucoup plus difficile de trouver un Ehpad pour la pathologie de ma mère que pour les personnes atteintes d’Alzheimer. Je crois que vous avez deux types d’hypothèse à envisager. Et il y a là trois pistes au moins : Un traitement, surtout s’il a été récemment introduit ou modifié. Ma mère, 86 ans, souffre de troubles sur lesquels on a mis à peu près tous les noms : paranoïa, hallucinations, démence, Alzheimer ... je vais essayer de vous décrire seulement ses troubles, surtout les plus dérangeants. Puis elle nous a vu passer ds sa rue.. alors que nous étions à 70 km de chez elle etc..... Puis tout est redevenu "normal"... mais depuis fin janvier, elle raconte à tout le monde qu elle c est fait agressée par son frère et la belle mère de son fils ainé.. chaque fois qu elle en parle c était tjrs la semaine dernière... puis les agresseurs changent mais restent tjrs dans le même noyau familial, elle se sent persécutée par tout le monde, voit des gens qui passent et qui la nargue, dit etre persecutée téléphoniquement par des personnes, ne sait plus qu elle a deja raconté ces "aventures" et raconte a nouveau tout avec une nouvelle version... elle téléphone sans cesse en disant que mon mari doit passer car chez elle cela ne va plus... lorsqu il arrive, elle est assisse a table relis les feuilles ou elle a tout noté, et ne parle que ce cette agression.... elle dit qu elle n a pas besoin d aller voir un médecin car elle n est pas folle... et ce matin elle vient de dire à mon mari que lui aussi il est contre elle.. parcequ il lui a dit qu il fallait absolument qu elle passe chez le médecin pour faire un bilan.. nous ne savons plus quoi faire. Sur les douleurs, tout d’abord. Le raisonnement est assez simple, mais les solutions ne le sont pas. Il ne parle plus, nous comprend mais ne s’exprime plus et aujourd’hui doit être lavé, changé, par ma grand mére. Mais le service de réa était en larmes, et rien que pour cela je crois que c’est une des rares choses de ma vie dont j’aie le droit d’être fier. Mais mis à part de le rendre endormis (il dort beaucoup) et des effets secondaires (il a mal au articulation + courbature + beaucoup de fatigue). A noter que l’espace ne change que si je le veux, alors que je ne peux empêcher le temps de changer. Il y a une prise en charge d’APA mais nous ne connaissons pas la pathologie. Facile à dire. Pour répondre, il faut considérer deux questions ; 1°) : Le malade en souffre-t-il ? Mais il me semble que si vous êtes parvenue au point où vous êtes, c’est précisément au prix d’un dur travail qui généralement n’est pas fait, et dont le plus souvent on n’a même pas idée. D’ailleurs c’est le cas de tous les troubles mentaux (on songe à Socrate expliquant que si le méchant savait ce qu’il perd à être méchant, il cesserait immédiatement). Elle a déjà vu un ORL qui a demandé l’IRM et qui ne donne pas suite. Quant à se préparer à vieillir, je crois que c’est un leurre. Bonjour, mon mari en plus de ses pertes de mémoire accuse mon beau-frère de lui avoir volé des outils, il est incapable de dire de quels outils il s’agit ! A accusé mes enfants de 3 et 5 ans de lui voler ses clés. Des exemples classiques sont la glossodynie, dans laquelle le patient se considère comme atteint d’une lésion de la langue, mais aussi la proctalgie, dans laquelle le patient se plaint de douleurs anales pour lesquelles on ne retrouve aucun substrat organique. Démence fronto-temporale ? Certains jours elle est parfaitement normale, à un point étonnant, et puis à d"autres, de nouveau perdue, ne se rappelant pas le nom de sa nouvelle aide ménagère ou étant persuadée qu’elle n’est venue qu’une fois dans la semaine alors qu’elle est passée quatre fois.. on verra bien merci encore pour vos conseils Comment peut-on avoir de l’aide pour qu’il soit évalué ? Elle peut être très agitée ou, au contraire, très apathique. De toute manière vous n’avez pas le choix, et il faut bien courir le risque pendant un certain temps. Votre analyse est parfaite. Je ne vais pas m’aventurer beaucoup, car il faudrait pouvoir faire un diagnostic psychiatrique précis, ce qui supposerait d’examiner la malade. Mais je sais qu’il faut faire un bilan cognitif ; et que vous aurez beaucoup de mal à en persuader votre grand-mère. de plus je me suis rendue à son chevet hier matin avant l’opération, elle m’a assaillie d’une foule de demandes de tout ordre, à tel point que je n’ai pu tout mémoriser ! Même la pensée scientifique est dans ce cas : certes elle s’appuie sur des raisonnements, mais à la base il y a un jugement implicite : je décide de m’en tenir aux résultats du raisonnement. "La prochaine fois ne restez pas aussi longtemps sans venir me voir" ensuite elle m’a demandé : Nous vivons en Belgique. La troisième est qu’il y a peu à attendre des examens projetés. "Ils sont là, et des fois ils ne sont pas contents parce que moi, je n’ai pas payé ma place" m’a t elle dit un jour où elle regardait une émission de jeu. Il peut s’agir d’une authentique pathologie psychiatrique du sujet âgé ; on connaît par exemple une psychose hallucinatoire chronique, qui pourrait très bien correspondre à ce que vous décrivez. Maintenant, son état se dégrade de jour en jour. Pour vous répondre de manière pertinente il faudrait en savoir beaucoup plus. Dans ces conditions la seule manière d’y voir clair est de s’en remettre à un psychiatre, et si possible un psychiatre connaissant les spécificités de la psychiatrie du sujet âgé. Pensez vous qu’il y a urgence ? Bonsoir, Le vieil homme du reportage de Télématin fait la remarque que " le verre de l’amitié" proposé par l’animateur n’est pas rempli de vin. L’idéal serait qu’il existe près de chez vous un service de gériatrie qui puisse faire une étude complète.

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