En décembre, le ministre publie une circulaire, statuant que les enseignants avaient la responsabilité d’accepter ou de refuser le voile en classe, au cas par cas. « Les premiers, écrit-elle, au nom des principes laïcs, proscrivent le port du foulard traditionnel. Verts, jaunes, orange, unis ou décorés de motifs. « La loi de 2004 y interdit le port de tout signe ostensible, comme le voile ou la kippa, mais les signes discrets – comme une petite croix ou … » Tous les journaux, y compris l'Humanité, illustreront leur édition du 23 octobre 1989 par des photos de manifestantes voilées en tenue iranienne. La loi du 15 mars 2004 « encadrant, en application du principe de laïcité, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics », appelée parfois « loi sur le voile islamique », a été votée par le parlement en mars 2004. La tradition du voile a existé avant l'apparition de l'islam. La confrontation pour les petits Français avec "la différence" est de plus une excellente technique. Dans un cas sur deux environ, ces expulsions furent annulées par les tribunaux. En novembre, 24 filles voilées sont expulsées de ce même lycée, et du lycée Faidherbe à Lille (dont Hicham Kochman, devenu le rappeur militant Axiom était le délégué de classe. Il est anormal que cette interprétation des textes sacrés, faite pour une société qui n’existe plus, reste telle quelle. Les principes de l'assimilation interdisaient toute affirmation ostentatoire de sa foi. Le père de la fillette, Miloud el-Kihal, président de l'association musulmane culturelle des Vosges, et directeur de l'école musulmane, prend les choses en mains. À la suite de ces événements, les enseignants d’un collège de Nantua se mettent en grève contre le port du voile islamique à l’école. C’est comme si, aujourd’hui, la France continuait d’appliquer une juridiction remontant à l’inquisition ou aux préceptes en vigueur à l’époque des croisades. C'est avec l'islam qu'elle s'est répandue dans différents pays du globe. Ce débat soulève des questions connexes liées à : Cet article résume cette controverse, depuis « l’affaire du voile » et le vote de la loi de 2004 sur les signes religieux dans les écoles publiques jusqu'à aujourd'hui, ainsi que les arguments qui s'affrontent en France. De son côté, la démarche de Lionel Jospin est rapprochée, dans Le Monde du 4 novembre 1989, de celle d'Eugène Spuller, ministre des cultes en 1894 : « En mettant en avant l'impératif de tolérance, écrit le journaliste du Monde Alain Rollat, à l'époque comme aujourd'hui, il s'agissait pour le gouvernement de la gauche de pratiquer une politique centriste de rassemblement »[19]. • Que faire en cas d'infraction à la loi d'octobre 2010? nécessaire], et verrait d’un bon œil que leur femme ou leur fille puisse porter le voile. Sont concernés la burqa - qui cache entièrement le corps, y compris les yeux derrière un tissu à mailles - et le niqab - qui couvre le visage pour n'en montrer que les yeux. Dans les faits, les musulmanes non voilées sont fréquentes dans des villes comme Istanbul ou Casablanca. Mais cette affaire est à l'origine d'une vague médiatique[7] et politique[8] qui fera beaucoup de dégâts au sein de plusieurs associations[9], dont le MRAP. La Ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem annonce qu'il convient aux établissements scolaires de refuser tout comportement prosélyte par les parents d'élèves et d'exclure les perturbateurs, mais non de refuser par principe d'associer les mères voilées de toutes les accompagnements scolaires[27]. Le «hijab» (qui masque la chevelure mais laisse le visage dégagé) ne rentre donc pas dans le champ d'application de cette mesure. ÉCLAIRAGE - La loi du 15 mars 2004 sur le port des tenues et signes liés à une appartenance religieuse n'interdit pas le voile dans l'enseignement supérieur. L'obligation, pour les femmes musulmanes, de se couvrir la tête d'un voile, s'est fixée dans le droit islamique avant la mort de Mahomet (le dernier prophète du monde selon l'islam). De 1994 à 2003, cent filles environ ont été exclues de collèges et de lycées publics pour port de voile islamique. Les seconds invoquent le droit d'afficher leur religion. », « scandaleux que l'on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens, malmener les convictions personnelles », « En aucun cas, une sanction ne peut être infligée à des élèves en vertu de leur foi. Prétexte pour d'autres de montrer leur désapprobation de la société actuelle par l'extrémisme voir le terrorisme. Tout de suite après l'affaire de Creil, le MRAP est saisi par le frère de Souan Flijan. Cependant, elle a aussi amorcé la définition de la place de l’Islam dans la société nationale. Le 18 septembre 1989, Fatima (13 ans) et Leïla (14 ans) Achahboun, ainsi que Samira Saïdani, cessent de fréquenter le collège Gabriel-Havez de Creil dans l'Oise (500 élèves musulmans sur 876[1] et 25 nationalités [2]), sur la demande du principal du collège, Ernest Chénière, qui estime dans une lettre aux parents que le voile est une marque religieuse incompatible avec le bon fonctionnement d'un établissement scolaire. La situation devient intenable, chaque proviseur est seul face aux différents refus d'enlever le voile et prend des décisions aux cas par cas. 17 février 2021 loi sur le voile à l'université. La violence des débats le disputera à la cacophonie. La décision du Comité des droits de l'Homme relance le débat sur le voile. »[4],[5], Le SNES, dans une déclaration du 5 octobre 1989, affirme que « certaines facilités peuvent être offertes aux élèves pour l'exercice de leur croyance (…) dans le respect du principe de neutralité et dans la limite des contraintes matérielles (…) cette pratique souple et tolérante de la laïcité exclut cependant de transformer les établissements scolaires en lieux d'affrontement entre croyants de différentes confessions ou avec les non-croyants. Prétexte pour certains pour s'assurer le soutien de leur famille / communauté. On retrouve sous différentes formes dans la mythologie gréco-romaine, mais aussi dans les contes traditionnels, l’image de l’homme venu de loin pour «prendre femme». Aucune des parties ne veut lâcher du terrain, et le conflit sera finalement tranché par les « responsables académiques », qui soutiendront la directrice mais accepteront que les fillettes portent leur foulard en cours. Le conseil académique de l'IEP réfléchit à créer un comité d'experts pour «insérer dans son règlement les dispositions adéquates qui seront soumises ensuite à l'appréciation du juge». À la mi-juin 1989, les médias français commencent à parler de filles qui portent « le tchador à l'école ». Cette Tunisienne en cours de naturalisation de 18 ans demeurant à Marseille s'est vu essuyer plusieurs refus d'inscription parce qu'elle portait le voile[10]. [Mais] si un enfant juif veut vivre pleinement son identité dans le respect de la, « Un déferlement de prises de positions a marqué ce week-end, à propos du port des foulards coraniques dans les écoles publiques. La présence des Françaises musulmanes portant des voiles tricolores et clamant « Je suis française » dans les manifestations contre la loi « antifoulard » organisées à Paris est un exemple, certes ponctuel, mais symptomatique d’une réalité sociale qui devient de plus en plus visible. Elle interdit le port de tout signe religieux « ostensible », ce qui inclut le voile islamique mais aussi la kippa, et le port de grandes croix. Le dimanche 22 octobre 1989, un millier de personnes selon Libération, « quelques centaines » pour l'Humanité, ont manifesté à Paris contre l'interdiction du port du foulard à l'école. A écouter Marine Le Pen, il serait simple d’écrire une loi pour restreindre le port des signes religieux. L'Humanité du 6 octobre 1989 continue : « volonté de mettre l'islam au ghetto, relents de racisme, démission éducative, Malek Boutih ne mâche pas ses mots ». SOS Racisme demandera la réintégration des trois élèves et déclarera : « En aucun cas, une sanction ne peut être infligée à des élèves en vertu de leur foi. Pierre Bernard a été condamné en 1989 et 1991 pour discrimination raciale après avoir refusé pendant de longues années d'inscrire des enfants immigrés dans "ses" écoles municipales. »[36]. Loi n° 2004-228 du 15 mars 2004 encadrant, en application du principe de laïcité, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics. Ce sont des pièces de coton colorées, de couleurs vives, que les filles portent comme des foulards. On ne peut pas lâcher sur ses principes. La situation se reproduit dans les années 1990 et au début des années 2000, une cinquantaine de jeunes filles sont exclues de leurs établissements. Le spécialiste de l'islam Gilles Kepel, dans un livre consacré au département Seine-Saint-Denis avance que « le port du voile n'est pas un choix électif mais une exigence qui s'impose dans l'espace public local... la norme sociale qui impose des conduites sexuées est, comme dans les quartiers des pays pauvres du Sud, absolument impérative. Palmarès des villes où investir dans l'immobilier, Studios et 2-pièces : les loyers ville par ville, Barême des droits de succession et donation. De son côté, Julien Dray (PS) prône l'acceptation des filles voilées qui, ainsi, « évolueront d'elles-mêmes » tout en soulevant la problématique d'intégration de la population d'origine étrangère, opinion partagée par Jean Bousquet (Député UDF de Nîmes). Les seuls signes religieux qu'elle évoque sont ceux qui pourraient être apposés sur les édifices publics. ( Compréhension Orale) bilan 10 ans après la loi de 2004 voile, foulard, école, laïcité Cette interdiction s'applique également au personnel de ces établissements. Son interdiction serait une volonté de supprimer cette opposition au mariage mixte, pratique plus répandue en France que dans la plupart des autres pays occidentaux. Toutefois, le gouvernement turc de l'AKP, au pouvoir depuis 2002, a autorisé le port du voile islamique dans les administrations publiques en 2015.[réf. Or, ces deux textes priment sur d… La loi de 2004 ne s'applique qu'à l'école, au collège et aux lycées mais pas à l'université et dans d'autres établissements d'études supérieures. Le port du voile est autorisé à l'université. Je confirme ici que la circulaire Chatel (...) continuera à être utilisée par les personnels de l’éducation nationale (...) Hors de ces comportements prosélytes, faut-il interdire par principe à une maman portant le foulard d’accompagner ses enfants en sortie scolaire ? Les jeunes hommes vont chercher des épouses à l’extérieur du village. « Les voies de l'Islam », « Les mosquées entre prière et polémique », Exemples d'autorités islamiques considérant que le respect de l'islam n'implique pas le port du voile par les musulmanes : Soheib Bencheikh, grand mufti de Marseille, sur le voile, dans le magazine, « Il ne s’agit pas de l’islam, mais d’un machisme méditerranéen doublé d’une vision archaïque du droit musulman. Je vous prie de leur donner la consigne de respecter le caractère laïc de notre établissement[3]. Depuis, des Affaires du voile islamique ont éclaté dans d'autres lieux que l'école et dans d'autres pays que la France. Libération, mardi 10 octobre 1989, « devoirs religieux et cas de conscience laïcs ». Ils furent abandonnés dans les années quatre-vingt[35]. Les seconds invoquent le droit d'afficher leur religion. »[13], Le 19 octobre 1989, Le Provençal publie un reportage sur une école coranique comorienne à Frais-Vallon intitulé : « La guerre du voile n'aura pas lieu. Ainsi, un passage de la première lettre de Paul aux Corinthiens (11/2-16)[33] lie le voile des femmes à leur relation à Dieu. - La présente loi est applicable : 1° Dans les îles Wallis et Futuna ; 2° Dans la collectivité départementale de Mayotte ; 3° En Nouvelle-Calédonie, dans les établissements publics d'enseignement du second degré relevant de la compétence de l'Etat en vertu du III de l'article 21 de la loi organique n° 99-209 du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle-Calédonie. il faut respecter les loi on ne sais pas qui se cache la dessous, 'Opéra de Paris a demandé à une spectatrice, L'espace public tel que défini par la loi, Une spectatrice au visage voilé priée de quitter l'Opéra Bastille, Calendriers et résultats des matchs en direct, Résultats, classement général Tour De France, Conseils alimentation, nutrition et santé. Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, fait connaître le 9 septembre 2013 « la première charte de la laïcité à l'école ». C'est la loi du 15 mars 2004 qui interdit le port ostensible de signes religieux à l'école. Ajouté par sous Livres par sous Livres Cette loi a été validée en juin dernier par la Cour européenne des droits de l'homme qui a estimé dans un arrêt que «la préservation des conditions du “vivre ensemble” était un objectif légitime» des autorités françaises, qui disposent à cet égard d'une «ample marge d'appréciation». Caroline Fourest note que le Front national soutient les jeunes femmes voilées et que c'est l'aile catholique intégriste du Front national qui en 2003, organise des manifestations contre les signes religieux à l'école publique[25][source insuffisante]. Une pétition qui fait « Le pari de l'école » et qui reconnait « le signe de l'oppression et de la contrainte exercée sur les femmes musulmanes », mais qui affirme que « l'exclusion sera toujours la pire des solutions » est signée dans Libération du 6 novembre 1989 par plusieurs personnalités, dont Marguerite Duras, Catherine Barma (productrice), Elli Medeiros, Catherine Lara, Noria Allami (auteur de Voilées et dévoilées), Monique Éwanjé-Épée (recordwoman de France du 100 mètres haies), Ségolène Royal, Halima Boumédienne, etc. Il s'appuie sur une seule des propositions de la commission dirigée par Bernard Stasi (créée en juillet 2003 sur sa propre demande) pour la préparer. Cette décision indique que l'inspecteur académique « a entaché sa décision d’erreurs de droit », donc qu'elle était illégale. Dans une tribune dans Libération le 3 novembre intitulée Le symbole ou la vérité, Étienne Balibar (maître de conférences en philosophie à l'Université Paris-I), tout en prônant la tolérance, pose le problème de la laïcité à l'école dans toute sa complexité et rend compte des divergences ou convergences d'opinion à ce sujet qui traversent tous les courants politiques (le débat perdurera en ces termes jusqu'en 2004, date où une loi sera spécifiquement votée pour trancher la question des signes religieux à l'école). Une seconde circulaire ministérielle rappelle le besoin de respecter le principe de la laïcité dans les écoles publiques. Là, à la faveur des premiers rayons de soleil, la directrice a testé le caractère emblématique et religieux de ce fichu. Les parents de l’une des filles exclues du collège Gabriel-Havez portent plainte contre le principal pour diffamation. - En France, la loi sur la laïcité adoptée en mars 20043 interdit le port du voile à l’école et réaffirme, comme son intitulé l’indique, le principe de la laïcité (voir la section 4 ci- dessous). Que dit la loi ? Plutôt agréable à l'œil. Il faut que tous les jeunes Marseillais apprennent à vivre dans la République. La loi de 2004 ne s'applique qu'à l'école, au collège et aux lycées mais pas à l'université et dans d'autres établissements d'études supérieures. La famille traditionnelle française, en revanche, serait exogamique (l'auteur distingue la famille nucléaire égalitaire du nord de la France et la famille souche au sud du pays, toutes deux exogames). Libération ne parle plus de « tchadors », mais de « foulards ». ● Il est interdit de «dissimuler son visage» dans l'espace public. » L'article est illustré par une photo de quatre e… La liberté de conscience et de religion est garantie tant par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) dans son article 9 que par la Constitution française dans son article premier. En revanche, la loi du 15 mars 2004 interdit "le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics", comme le rappelle une circulaire du ministère de l'Education nationale. », « Les voiles des petites Comoréennes [sic] de Frais-Vallon n'ont rien à voir avec les tchadors iraniens, ni même avec les tenues austères des religieuses. Accéder à la version initiale Votée en 2010, la loi interdit de revêtir en public une tenue dissimulant le visage. En termes jurisprudentiels, la dernière décision[31] est celle du tribunal administratif d'Amiens, qui vient d'annuler une directive émanant de l'inspecteur académique qui interdisait les mères voilées d'accompagner les sorties scolaires. La dernière modification de cette page a été faite le 25 septembre 2020 à 23:02. Dans Le Quotidien de Paris, Ghislaine Ottenheimer, en tant qu'« envoyée spéciale » à Épinal, relate le 13 juin 1989, une querelle entre des instituteurs et des parents d'élèves. I. Les filles pourront mettre leur foulard dès la sortie des cours et le retirer avant d'y entrer[1]. Les gens qui y croient sont des bernés volontaires - ils croient parce que ça les arrange... c'est mon point de vue. »[11] SOS Racisme suivra le MRAP dans cette affaire et jugera cette position « on ne peut plus douteuse et irresponsable »[11]. La laïcité, ce n’est pas une conviction ou une opinion mais le cadre qui les autorise toutes[28]. Port du voile : que dit la loi ? Pour l'essayiste Éric Zemmour, alors que les débats des années 1989 ont largement dévié vers la question de la liberté ou l'oppression des femmes, le voile est simplement un symptôme de commencement d'organisation islamique de la cité. Les objets religieux sont retirés des établissements et l’enseignement religieux est supprimé des programmes. Le MRAP est saisi et Maître Gilbert Collard assurera la défense des intérêts de l'association et de Souan Flijan. En novembre 2019, une étude réalisée par l'économiste et directeur d'études à l’École des hautes études en sciences sociales Éric Maurin révèle que la circulaire de 1994 aurait eu des effets positifs sur les taux de diplômes des jeunes filles musulmanes[38]. Comme en témoignent deux polémiques récentes. Cette règle a pour objectif de "garantir la liberté de conscience de chacun"et s'applique aux élèves, aux enseignants et aux employés de la fonction publique. Partiellement nourrie de la peur d'une « communautarisation » voire d'une « islamisation » de la société française, elle a elle-même alimenté dans certaines franges de la communauté musulmane la peur d'une « assimilation forcée » d'une spirale de « toujours plus » interdisant le voile ou d'autres expressions de la foi musulmane dans un périmètre de plus en plus large. Ce qui a amené le vote de la loi sur la réglementation du port des signes religieux à l’école en 2004, alors que rien n’interdit, rappelons-le, le port des signes religieux dans l’espace public. [Texte temporaire résumant les avis exprimés en 7 jours]. Toutes ces affaires viennent relancer un climat délétère : sans discontinuer, les prises de position et analyse des médias connaîtront un déferlement incroyable pendant 7 jours. Il faut que tous les jeunes Marseillais apprennent à vivre dans la République. Une loi à laquelle le FN et Marine Le Pen étaient opposés. Le MRAP sera à l'origine des deux plaintes. La loi autorise néanmoins le port de signes religieux discrets. Cf. Le port du voile en tant que signe religieux n'est interdit qu'au sein de l'école. Le RN veut étendre la loi de 2004 sur le port du voile à l'école «à l’intégralité de l’espace public», une loi à laquelle le FN et Marine Le Pen étaient opposés La démission en novembre 2006 d'Antoine Spire de la Ligue des droits de l'homme sera notamment due à des affaires de ce type. Il n'y a aucune loi … Après avoir été saisi par le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), le tribunal administratif de Versailles a suspendu le 12 juillet dernier un règlement de la mairie interdisant le port de signes religieux pendant l'opération estivale «Wissous Plage». Interdiction du port du voile à l’école : pratiques journalistiques et légitimation d’une solution législative à la française. Accueil; Commander; FAQ; Mon panier; arguments contre le port du voile Un sondage réalisé par le CSA en janvier 2004 permet de cerner cette réalité : plus de 90 % des Français musulmans interrogés se disent attachés à des principes tels que la république ou l’égalité homme-femme, et 68 % approuvent le principe de séparation des Églises et de l’État, mais sont plus réservés sur d'autres sujets comme l'apostasie par exemple. Mais Dieu dans tout ça... N'a qu'un rôle secondaire... les contes religieux sont dépassés et aujourd'hui difficilement crédibles. Verts, jaunes, orange, unis ou décorés de motifs. À la mi-juin 1989, les médias français commencent à parler de filles qui portent « le tchador à l'école ».
Lettre De Dénonciation Caf,
Emploi Du Temps Ena,
Activité Pyramide Et Cône,
Ail Et Hypertension,
Attaquant Fifa 21 Pépite,
Chargé D'accueil Banque Diplome,