Virtual Museum of Soviet Repression in Belarus, Compte-rendu d'un débat avec trois des coauteurs, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Livre_noir_du_communisme&oldid=177811325, Article avec une section vide ou incomplète, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Des livres. L'historienne Annie Lacroix-Riz, membre du PRCF, a qualifié l'ouvrage d'« opération politique et idéologique de grande envergure, à l’échelle tant de la France que de l’Europe unifiée. »[20]. Suite à la sortie du Livre Noir du Communisme, Jean-Marie Cavada lui consacre en décembre 1997 une Marche du Siècle.Cette troisième partie est un reportage sur le Goulag (1920-1986) et les millions de morts qu'il a Stéphane Courtois, "Comprendre la tragédie communiste", « Courtois' attempt to present communism as a greater evil than nazism by playing a numbers game is a pity because it threatens to dilute the horror of actual killings. L'historien américain John Arch Getty, professeur à l'université de Californie à Los Angeles, note que les famines sont à l'origine de plus de la moitié des victimes du communisme dénombrées par Stéphane Courtois. Ainsi reproche-t-il à l'auteur d'avoir écarté les discours conciliateurs de Lénine, tels que son appel en septembre 1917 à la formation d'une coalition gouvernementale menchevik SR sans les bolcheviks [48], à l'alliance avec les mencheviks contre l'intervention étrangère fin novembre 1918[49], ses explications de la Terreur par le blocus occidental en décembre 1919[50] ou sa requête en février 1920 devant les victoires des Bolcheviks d'arrêter également les exécutions capitales[51]. Les auteurs sont Stéphane Courtois, Nicolas Werth, Jean-Louis Panné, Karel Bartošek, Jean-Louis Margolin et Andrzej Paczkowski. Non pas à cause de l'intention maléfique de ses promoteurs. Il regrette que le livre ne discute pas du rôle des États-Unis dont l'obstruction est selon lui cause d'échec de plusieurs expériences communistes. Pour l'historien Jean-Jacques Becker, le décompte « des morts du communisme » a une « valeur historique nulle », puisqu'il s'agit de réalités très différentes qui échappent à toute forme de comptabilité. Le Livre noir du communisme aurait dû être préfacé par François Furet, disparu en juillet dernier. À l'étranger, la traduction de Du passé faisons table rase ! Ce "livre noir" est un procès intenté au communisme réel, un réquisitoire général après les terrifiants témoignages accumulés depuis L'Aveu d'Arthur London, ou L'Archipel du Goulag, d'Alexandre Soljenitsyne. Pierre Rigoulot et Ilios Yannakakis publient en 1998 Un Pavé dans l'histoire[45], qui constitue un plaidoyer en faveur du Livre noir et tente de faire la synthèse des critiques et avis émis à son encontre. Un assemblage hétéroclite auquel l’introduction et la conclusion de Stéphane Courtois, maître d’œuvre, s’emploient avec vigueur à donner sens. Pour quelques-uns, tiens, pardi ! Elle eût été en tout cas intelligente. Crimes, terreur, répression est un ouvrage rédigé par un collectif d'universitaires, publié en 1997 par les Éditions Robert Laffont. Moscou Noir Saison 1 FRENCH HDTV. Les meilleures offres pour Le Livre noir du communisme : Crimes, terreur et répression sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en … On ressort accablé de cette litanie d'exactions sanglantes. Das schwere Erbe der Ideologie, Piper, 2004), en Bulgarie (Черната книга на комунизма 2. част, Prosoretz, 2004) et en Italie (Il libro nero del comunismo europeo, Mondadori, 2006). Wählen Sie ein Land/eine Region für Ihren Einkauf. Les chiffres utilisés et le principe même d'addition de morts de causes parfois très différentes ont été sujets d'une polémique. En France, il a engagé son parcours depuis Babeuf, il est présent dans l’histoire de ce siècle. En Allemagne, où le Livre noir a été vendu à plus de 200 000 exemplaires trois mois après sa sortie, l'introduction de Stéphane Courtois a suscité des débats virulents sur la comparaison entre le communisme et le nazisme, dans la continuité de l'Historikerstreit, notamment de l'historien Ernst Nolte, qui avait divisé les historiens allemands à la fin des années 1980, à la suite de la publication de La Guerre civile européenne par Ernst Nolte en 1987[57]. Six French Intellectuals -- all leftists -- face the record of communism squarely and deliver a solid, damaging indictment. Même s’il y a eu autre chose que du négatif », « le communisme est un mouvement. Hinzufügen war nicht erfolgreich. 8 Personen fanden diese Informationen hilfreich, Rezension aus Frankreich vom 14. En fait, ceux qui contestent cette appellation cherchent, à travers la disparition du mot, à escamoter la réalité des faits [...].Certains sautent le pas et n'hésitent pas à affirmer qu'en raison de la diversité des périodes et des régions le communisme n'a pas existé en tant que phénomène historique fondamental du, « À quoi sert-il de comparer les crimes et dans quel but ? Le premier tome paru en 2001 (ソ連篇) contient les articles traitant de l'Union Soviétique. », en critiquant par ailleurs l'analyse que fait Nicolas Werth de l'Holodomor[34]. Il affirme que « [l]e total approche la barre des cent millions de morts »[6]. Il critique la méthode consistant à amalgamer des personnes mortes de faim dans des tragédies comme l'Holodomor, et les victimes des camps de travaux forcés comme le goulag, puis la comparaison avec le nazisme que tire Stéphane Courtois de ce décompte : « Les victimes de famines causées par la stupidité et l'incompétence d'un régime (ces morts comptent pour plus de la moitié des « 100 millions de victimes » de Courtois) peuvent-elles être mises sur le même plan que le gazage délibéré des juifs ? Le livre noir du capitalisme. Quand on fait la publicité d'un livre sur des millions de cadavres on n'a pas le droit de jouer sur les mots »[19]. Ce livre devenu un classique, révèle pour une fois avec toute l'objectivité requise la nature génocidaire du communisme. C'est une lecture Le livre dépasse immédiatement ses objectifs de vente (seulement 19 000 exemplaires initiaux). [...] Il a tiré des leçons de son histoire. L'édition portugaise est augmentée d'une préface de l'historien et membre du Parti social-démocrate portugais José Pacheco Pereira (en:José Pacheco Pereira)[10]. Preisangaben inkl. Le livre noir du communisme: Crimes, terreur, repression (Agora) | Collectif | ISBN: 9782266191876 | Kostenloser Versand für alle Bücher mit Versand und Verkauf duch Amazon. S'agissant de Lénine, il ne peut y avoir encore moins génocide de classe selon Jean-Jacques Marie, citant le dirigeant bolchevik, qui a répété maintes fois sa volonté contraire, notamment le 9 juillet 1919, de « lutter implacablement contre cette idée présomptueuse (...) que les travailleurs sont à même de vaincre le capitalisme et l'ordre bourgeois sans rien apprendre des spécialistes bourgeois » (à savoir les officiers, médecins, ingénieurs, savants etc) « sans les utiliser, sans passer par une longue "école de travail" à leurs côtés »[31]. À l'inverse, l'historien Tony Judt a affirmé que « les faits et les chiffres, dont certains étaient déjà bien connus, d'autres nouvellement confirmés par le recours à des archives autrefois inaccessibles, sont irréfutables »[72]. Parmi tous ces livres noirs, l'un des premiers a pour thème l'antithèse du communisme, le capitalisme. Il nous semble donc abusif d'assimiler l'idéologie communiste à l'idéologie marxiste, nombre de marxistes parmi les plus éminents ayant combattu le communisme de Lénine. Juli 2013. Le Livre noir du communisme. Les principales parties concernent l’URSS sous Lénine puis Staline, et la Chine sous Mao Zedong. D'après Lucien Sève, « parler en ce cas de "camps de concentration" est pratiquer délibérément l'équivoque, ce par quoi un historien ne se grandit pas »[53]. Ces polémiques ne portent pas tant sur les faits décrits, que sur les responsabilités et intentions des États communistes ainsi que sur le rôle de l'idéologie elle-même. Zu zwölf Jahren dunkler deutscher Geschichte wurde bisher jedes Detail ausgeleuchtet und ausgedeutet. L'ouvrage connaît également un grand succès en Italie et fait l'objet d'une médiatisation importante[60]. En 1998, Pierre Rigoulot et Ilios Yannakakis ont publié Un Pavé dans l'Histoire (Robert Laffont) dont le titre est une référence à un article sur Le livre noir du communisme signé de Pierre Briançon paru le 11 novembre 1997 dans le journal français Libération (Le Livre noir du communisme », un pavé dans l'Histoire)[74]. Ce n'est pas une idée nouvelle : la question de savoir si les États concernés sont réellement allés vers le communisme est ouverte depuis leur apparition. Bitte versuchen Sie es erneut. Stéphane Courtois rejette vivement l'idée qu'il assimilerait nazisme et communisme, accusation faite selon lui pour discréditer toute approche comparative[36]. Le rejet de ce système par la plupart des peuples concernés, l'ouverture des archives, le témoignage des survivants ont permis à une équipe d'historiens d'établir cet inventaire de la persécution, de la déportation, de la famine organisée et du massacre d'Etat. Comme pour le premier opus, ce second ouvrage est placé sous la direction de Stéphane Courtois et certains de ses différents collaborateurs ont rédigé préface ou chapitres supplémentaires dans les différentes traductions du Livre noir du communisme. Pourquoi les hommes mettent-ils en place des régimes qui les détruisent? L'éditeur et ancien militant communiste Maurice Nadeau, dans La Quinzaine littéraire, considère le livre comme « une escroquerie » : « l'escroquerie réside en ce que ce collectif d'auteurs appelle "communisme" ce qui en est précisément le contraire ». », « le crime est bien au cœur même du projet communiste. », C'est le titre qui est consacré au Livre noir. » Il en conclut que « ces similitudes suggèrent que l'objet "système communiste" est bien autre chose qu'une simple catégorie idéologique »[24]. L'édition Estonienne contient une préface « Ombres sur le monde » (« Varjud maailma kohal ») signée du Président de la République Lennart Meri, ainsi qu'un chapitre additionnel sur le communisme en Estonie « L'Estonie et le communisme » (« Eesti ja kommunism ») rédigé par le Premier Ministre Mart Laar[8]. (…) C'est dans votre pensée un système de gouvernement créé une fois pour toutes. Stéphane Courtois réussit son projet d'une manière formidable, rien n'est avancé gratuitement, l'ouvrage s'étaye sur des faits historiques et sur des arguments scientifiques. L'historien spécialiste de l'URSS Jean-Jacques Marie a dénoncé le fait que cette comparaison repose sur une fausse citation de Staline : « À la page 19 du Livre noir du communisme, Stéphane Courtois écrit « Le mot officiel de Staline [...] était d'exterminer les koulaks en tant que classe ». Ce "livre noir" est un procès intenté au communisme réel, un réquisitoire général après les terrifiants témoignages accumulés depuis L'Aveu d'Arthur London, ou L'Archipel du Goulag, d'Alexandre Soljenitsyne. Face aux critiques du Livre noir, Laurent Joffrin publie un article dans Libération intitulé « Sauver Lénine ? À Tours en 1920, s'adressant à ses camarades socialistes qui allaient fonder le PCF, Léon Blum analysait "l'ensemble doctrinal" proposé par l'Internationale communiste : "Votre dictature n'est plus la dictature temporaire. Le Livre noir du communisme. L’éditeur nous confie que le regretté François Furet avait accepté de rédiger la préface. Non pas à cause de l'intention maléfique de ses promoteurs. Dans son introduction au Livre noir, Stéphane Courtois établit une comparaison entre nazisme et communisme, une partie des crimes du second étant selon lui assimilables à un « génocide de classe » équivalent au « génocide de race ». On a refusé de croire à la criminalité comme étant l'une des caractéristiques essentielles du système communiste. L'édition roumaine est enrichie d'un chapitre supplémentaire consacré au communisme en Roumanie ainsi que d'une carte des lieux de répression préparés par la fondation Fundatia Academia Civica[11]. A l'origine de la révolution bolchevique de 1917, il y eu en effet une utopie et un idéal de justice et d'égalité... Alors comment ce rêve de liberté et de fraternité a-t-il pu engendrer l'un des pires systèmes totalitaires et le règne de la terreur? 95 ? Le livre noir du communisme a suscité dès sa parution un débat qui a traversé nos frontières. Lilly Marcou s'interroge sur la participation de Nicolas Werth à un collectif qui, selon elle, « pour mieux imposer la comparaison communisme-nazisme, cherche à faire admettre le chiffre de 80 à 100 millions de morts », alors qu'en septembre 1993, il a publié sur la base d'un examen des archives soviétiques, ouvertes en 1989, un article dans L'Histoire, intitulé « Goulag, les vrais chiffres ». Cette dernière critique rejoint en partie celle de Daniel Bensaïd, théoricien du trotskisme en France, selon lequel « L'objectif polémique du Livre noir consiste à établir une stricte continuité entre Lénine et Staline. À cet égard, tout distingue le communisme du nazisme. La question est : comment peut-on encore, en 2016, croire à de telles chimères ? Il régresse alors vers une lecture abstraitement idéologique et spéculative de l'histoire, au détriment de tous les acquis de l'histoire sociale », « il y aura toujours une différence entre celui qui s'engage en croyant à un idéal relié, par la réflexion, à l'espérance démocratique, et celui qui repose sur l'exclusion et qui fait appel aux pulsions les plus dangereuses de l'individu », « nécessité d’une condamnation internationale des crimes des régimes communistes totalitaires », « invite tous les partis communistes ou post-communistes de ses États membres qui ne l’ont pas encore fait à réexaminer l’histoire du communisme et leur propre passé, à prendre clairement des distances par rapport aux crimes commis par les régimes communistes totalitaires et à les condamner sans ambiguïté », « Les crimes ont été justifiés au nom de la théorie de la lutte des classes et du principe de la dictature du prolétariat », « que l’on évite toute confusion en s’abstenant d’une référence au nazisme », « On notera donc pour conclure qu’il est pour le moins curieux qu’une résolution et un rapport qui prétendent qu’il est plus que tout nécessaire de faire œuvre de « vérité », dans le but d’éduquer les « jeunes générations », ne puissent le faire qu’en usant d’une rhétorique essentiellement animée par la volonté de masquer les conflits d’interprétation qui, de la communauté des spécialistes aux acteurs politiques, se manifestent sur le sujet », « l’évocation des éléments de l’idéologie communiste », « d'ex-communistes renégats [des] « contre-révolutionnaires » rénovés qui n'auraient sans doute guère eu d'importance s'ils n'avaient trouvés des oreilles attentives, pour ne pas dire sympathiques, dans les rangs des conservateurs modérés et des démocrates libéraux nouveau style », Le "Mémorial de la Résistance et des victimes du communisme" a été fondé en. C'est le cas de Joachim Gauck et Erhart Neubert (édition allemande), Alexandre Iakovlev (édition russe) ou Mart Laar (édition estonienne). ». Voir notamment l'ouvrage critique collectif, génocide culturel à l’encontre des Tibétains, département pour l'agitation et la propagande, Quand Castro envoyait les homosexuels dans des camps, Enregistrement audio de la Conférence sur, Conférence du 24 janvier 2008 sous-titrée sur Youtube, NICOLAS WERTH : " LE MODELE ET LE PLURIEL ", Loin de l’Histoire, une opération à grand spectacle. Le vif engouement ou rejet du Livre noir du communisme s'est traduit par une série d'ouvrages publiés en réaction à celui-ci. Des auteurs soviétiques ont rédigé, pendant la guerre, un ''Livre noir'' consacré à la Shoah d'après un travail de collecte sur le terrain. Histoire et mémoire du communisme en Europe (la première édition comporte le bandeau « Le Livre noir du communisme n'a pas tout dit ») qui a été publiée en 2002 chez le même éditeur, Robert Laffont. Face à la polémique, Lionel Jospin intervient à l'assemblée le 12 novembre 1997 en affirmant « que la révolution de 1917 avait été l'un des grands événements de ce siècle »[39] et en rappelant la participation du parti communiste français au gouvernement provisoire du général de Gaulle en 1945 « alors que les crimes de Staline étaient parfaitement connus ». », « Réduisant le communisme à ses seuls crimes, faisant fi du projet bolchevik d'émancipation fût-il utopique et niant les acquis d'un système dont l'actuel effondrement laisse à une bonne partie de la société une certaine nostalgie, Stéphane Courtois et son équipe s'enfoncent dans une impasse. Jean-Louis Margolin obtient le changement du titre, qui devait être Le Livre des crimes communistes, et l'adjonction du sous-titre[16]. Cette doctrine, bientôt codifiée en "marxisme-léninisme" par Staline, est une doctrine d'élimination de la "bourgeoisie" (puis d'autres classes sociales, en premier lieu des fractions de la paysannerie), de dictature du prolétariat (devenue en fait dictature sur le prolétariat), de guerre civile permanente, d'agression et d'expansion par les armes du système soviétique »[36]. Nous exécutons les leurs un par un ». Divers contributeurs ont ainsi rajouté une préface ou un chapitre supplémentaire consacré au pays dans lequel la traduction du livre paraissait. On a contesté la légitimité du décompte des victimes du communisme par le refus d'additionner les exécutés, les "purgés", les morts de faim, et ceux de tous les goulags. Trois ans après sa vente, il est diffusé à 700 000 exemplaires et est traduit en 16 langues[37]. Rédigé pour marquer le quatre-vingtième anniversaire de la Révolution russe de 1917, il entend dresser un bilan des victimes des régimes communistes. Ainsi, en 1872, Bakounine dénonçait l'idée de dictature du prolétariat comme l'institution d'« un poste d'ingénieur en chef de la révolution mondiale », qui mènerait inéluctablement à l'asservissement des masses ». Stéphane Courtois, Joachim Gauck, Ehrhart Neubert et al.. Stéphane Courtois, Lennart Meri, Maart Lar et al., « En acceptant le [parti pris de construire ce texte uniquement autour des victimes et des drames], Nicolas Werth s'est interdit de dégager les mécanismes larges qui ont engendré ces violences au-delà des actions de quelques dirigeants ou des grandes confrontations entre monde paysan et monde urbain. Bitte versuchen Sie es erneut. On a enfin ressorti le vieil épouvantail en prétendant que Le Livre noir faisait le jeu de l'extrême droite »[75]. Il conclut en disant que « Si le goulag doit être condamné et le stalinisme totalement rejeté, et si l'on peut penser que le Parti communiste français [...] a trop tardé à dénoncer le stalinisme, il l'a néanmoins fait. D'autres critiques dénoncent la présence de personnalités controversées dans la commission qui a présidé à la rédaction du rapport, comme Natalia Narochnitskaya, députée du parti antisémite russe Rodina à la Douma[68], ainsi que de Toomas Hiio, chercheur estonien qui a défendu le criminel nazi Michael Gorshkov[69].
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