Une hypothèse alternative de l'historien H. W. Janson est que le miroir au fond réfléchit la toile de Vélazquez qui représenterait alors le couple royal[25]. [49], Velázquez further emphasises the Infanta by his positioning and lighting of her maids of honour, who are set opposite one another: before and behind the Infanta. D'autres soutiennent que Vélazquez se représente en train de peindre l'infante Margarita en se servant d'un grand miroir; le cas échéant, le miroir du fond lui réfléchirait l'arrivée inopinée du couple royal par une porte que lui cache sa toile[47]. [63] The relationship between illusion and reality were central concerns in Spanish culture during the 17th century, figuring largely in Don Quixote, the best-known work of Spanish Baroque literature. Il place l'un des seuls autoportraits qu'on lui connait[51] dans une pièce du palais royal, entouré de membres de la royauté, de courtisans, et d'objets qui résument sa vie à la cour[41]. Cette complexité a été la source de nombreuses analyses qui font de cette toile l'une des plus commentées de l'histoire de la peinture occidentale. Elle acquit enfin une certaine renommée à partir de l'ouverture du musée du Prado en 1819. [5] Kahr asserts that this was the best way for Velázquez to show that he was "neither a craftsman or a tradesman, but an official of the court". Considered to be one of the Greatest Paintings Ever.. Las Meninas (Ladies-in-waiting) (1656) Contents • Description • Analysis • Who is Being Painted? [83] In 1879 John Singer Sargent painted a small-scale copy of Las Meninas, and in 1882 painted a homage to the painting in his The Daughters of Edward Darley Boit, while the Irish artist Sir John Lavery chose Velázquez's masterpiece as the basis for his portrait The Royal Family at Buckingham Palace, 1913. Son analyse insiste sur la mise en abyme : Velásquez s'est représenté en train de peindre le tableau que le spectateur voit (les dimensions du tableau réel correspondent à celui qui est peint à la gauche du tableau et parallèlement aucun double portrait du roi et de la reine n'a jamais été retrouvé dans les inventaires)[réf. L'infante, par contre, se tient en pleine lumière et son visage est tourné vers la lumière bien qu'elle ne regarde pas dans cette direction. Alors que dans le tableau de Van Eyck les objets et les personnages sont recomposés dans un espace déformé et condensé par la courbure du miroir, le tableau de Vélasquez refuse de jouer avec les lois de la perspective : il projette sur le canevas les doubles parfaits du roi et de la reine qui se tiennent face au tableau. Le sombre plafond dépouillé, la toile que peint Velázquez, ainsi que le strict arrangement des peintures sur les murs contrastent avec l'entourage bien éclairé, animé et somptueusement peint à l'avant-plan[23]. Philip IV's first wife, Elizabeth of France, died in 1644, and their only son, Balthasar Charles, died two years later. [4] More recently, it has been described as "Velázquez's supreme achievement, a highly self-conscious, calculated demonstration of what painting could achieve, and perhaps the most searching comment ever made on the possibilities of the easel painting".[5]. La dame de compagnie de droite soutient l'importance de l'infante de manière plus large, mais moins intentionnée. By the early 1650s, Velázquez was widely respected in Spain as a connoisseur. In the context of the painting, Snyder argues that the scene is the end of the royal couple's sitting for Velázquez and they are preparing to exit, explaining that is "why the menina to the right of the Infanta begins to curtsy". "[42], The back wall of the room, which is in shadow, is hung with rows of paintings, including one of a series of scenes from Ovid's Metamorphoses by Rubens, and copies, by Velázquez's son-in-law and principal assistant del Mazo, of works by Jacob Jordaens. La position de toutes ses figures sur une même ligne horizontale forme une répétition : un homme, un couple, un homme, un couple et, bien que les personnages sur l'extérieur soient plus proches de nous, ils occupent tous la même bande horizontale dans la peinture. ». Il gravit les échelons de la cour de Philippe IV, il est anobli et nommé grand maître des appartements du Palais (aposentador mayor de Palacio) en 1651, poste qu'il occupera jusqu'à sa mort en 1660. Le miroir est parfaitement défini par un pâle rectangle ininterrompu à l'intérieur d'un large cadre sombre. Similarly, the light glances obliquely on the cheek of the lady-in-waiting near her, but not on her facial features. [79], An almost immediate influence can be seen in the two portraits by Juan Bautista Martínez del Mazo of subjects depicted in Las Meninas, which in some ways reverse the motif of that painting. About. Les Ménines, Galerie Louise Leiris by Pablo Picasso lithographic poster. Définitionsde menine. La première division est composée par la toile et le chevalet sur la gauche et, sur la droite, le chien et le nain qui le réveille. Un examen aux rayons infrarouges a révélé quelques traces d'anciennes corrections effectuées par Velázquez. Soon you … It was painted in 1656 . "The Fifteenth Century Netherlandish Paintings", National Gallery Catalogues (new series), London, 1998, According to López-Rey, "[The Arnolfini Portrait] has little in common with Velázquez' composition, the closest and most meaningful antecedent to which is to be found within his own oeuvre in, The restoration was in 1964, and removed earlier "clumsy repainting". Velázquez’s court portrait of a Spanish princess and her entourage has become one of the most debated works in art history. La composition complexe et énigmatique de la toile interroge le lien entre réalité et illusion et crée une relation incertaine entre celui qui regarde la toile et les personnages qui y sont dépeints. Un miroir sur le mur du fond réfléchit les bustes du roi Philippe IV (10) et de la reine Marie-Anne (11). Quoted in: Kahr (1975), p. 225, "The composition is anchored by the two strong diagonals that intersect at about the spot where the Infanta stands ..." López-Rey (1999), p. 217. 306, 310, McKim-Smith, G., Andersen-Bergdoll, G., Newman, R. Examining Velazquez, Yale University Press, 1988, "and a couple of Lyme-hounds of singular qualities which the King and Queen in very kind manner accepted" "Chronicle of the Kings of England" p408. Il supervise la décoration intérieure du palais et est responsable de l'achat de tableaux pour le compte du roi d'Espagne. Aucune théorie en la matière n'est entièrement acceptée par tous[48]. Velázquez est l'exception qui confirme la règle. created paintings "Les Demoiselles d’Avignon" 1907 (often taken to mark beginning of Cubism), "Guernica" 1937, "The Charnel House" 1945, "Les Menines" 1957 . Ce débat a en partie continué après la restauration, bien que selon le National Gallery de Londres où est exposée la toile et qui est catégorique quant à l'intention de Velázquez, le Christ et ses compagnons ne sont visibles qu'à travers une fenêtre donnant sur la pièce voisine[35],[36]. Nieto est montré prenant une pause, son genou droit replié, ses deux pieds sur des marches distinctes. [29] The royal couple's reflection pushes in the opposite direction, forward into the picture space. La position d'une telle zone de fort contraste tonal, juste au fond du principal espace pictural, représenté par l'infante, est une tactique de composition audacieuse de la part de Velázquez. 1656 Vélasquez peint Les Ménines ... . Painting was regarded as a craft, not an art such as poetry or music. Foucault describes the painting in meticulous detail, but in a language that is "neither prescribed by, nor filtered through the various texts of art-historical investigation". Il semble avoir bénéficié d'un degré de liberté relativ… Like Las Meninas, they often depict formal visits by important collectors or rulers, a common occurrence, and "show a room with a series of windows dominating one side wall and paintings hung between the windows as well as on the other walls". Goya, however, replaces the atmospheric and warm perspective of Las Meninas with what Pierre Gassier calls a sense of "imminent suffocation". In 1960, Clark oberved that the success of the composition is a result first and foremost of the accurate handling of light and shade: Each focal point involves us in a new set of relations; and to paint a complex group like the Meninas, the painter must carry in his head a single consistent scale of relations which he can apply throughout. Similar to Lopez-Rey, he describes three foci. "[33], In 1692, the Neapolitan painter Luca Giordano became one of the few allowed to view paintings held in Philip IV's private apartments, and was greatly impressed by Las Meninas. Le miroir mis en évidence sur le sombre mur du fond montre ce qui n'est pas là : la reine, le roi et, selon les mots de Harriet Stone, « les générations de spectateurs qui sont venus prendre la place du couple devant la toile. In the presence of his divinely ordained monarchs ... Velázquez exults in his artistry and counsels Philip and Maria not to look for the revelation of their image in the natural reflection of a looking glass but rather in the penetrating vision of their master painter. Les Ménines (en espagnol : Las Meninas, les demoiselles d'honneur), également connu sous l'appellation La famille de Philippe IV, est le portrait le plus célèbre de Diego Velázquez et a été peint en 1656. As spectators, the viewer's position in relation to the painting is uncertain. Les toiles sont placées exactement au même endroit que lors d'un inventaire d'époque[18]. López-Rey (1999), Vol. He seems to have been given an unusual degree of freedom in the role. Lithograph from the "Affiches Originales" series. "[77], The 19th-century British art collector William John Bankes travelled to Spain during the Peninsular War (1808–1814) and acquired a copy of Las Meninas painted by Mazo,[83] which he believed to be an original preparatory oil sketch by Velázquez—although Velázquez did not usually paint studies. Its complex and enigmatic composition raises questions about reality and illusion, and creates an uncertain relationship between the viewer and the figures depicted. According to Palomino, Philip ordered this to be added after Velázquez's death, "and some say that his Majesty himself painted it". Le tableau est présenté au musée du Prado de Madrid. López-Rey states that the truncation is more notable on the right. Subsequently, she had a short-lived brother Philip Prospero (1657–1661), and then Charles (1661–1700) arrived, who succeeded to the throne as Charles II at the age of three. [24] The paintings are shown in the exact positions recorded in an inventory taken around this time. Tableau de Diego Vélasquez (vers 1656). [24] The high-ceilinged room is presented, in the words of Silvio Gaggi, as "a simple box that could be divided into a perspective grid with a single vanishing point". La jeune infante Marguerite-Thérèse est entourée de demoiselles d'honneur, d'un chaperon, d'un garde du corps, d'une naine, d'un enfant italien et d'un chien. L'usage voulait que les jeunes femmes de la bonne société mangent des éclats de tessons de ces cruches pour avoir le teint pâle, cette ingestion causant en réalité une forme d'anémie. Les peintres du XVIIe siècle en Espagne ne bénéficiaient que très rarement d'un statut social élevé. López-Rey affirme que la découpe est plus importante sur la droite que la gauche. But because her face is turned from the light, and in shadow, its tonality does not make it a point of particular interest.